La résilience du Frère Bergoglio. Que meure Samson avec Tous les Catholistes.

5 Settembre 2024 Pubblicato da Lascia il tuo commento

Marco Tosatti

Cari amici e nemici di Stilum Curiae, grazie alla cortesia di Louis Lurton, a cui va il nostro grazie, offriamo alla vostra attenzione questo Mastro Titta in francese. Buona lettura e diffusione.

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La résilience du Frère Bergoglio. Que meure Samson avec Tous les Catholistes.

 

Mastro Titta, 30 août 2024

 

Chers amis et ennemis de Stilum curiae, notre Mastro Titta soumet à votre attention ces réflexions sur les dernières déclarations du pontife régnant. Bonne lecture et bonne diffusion. Marco Tosatti

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MASTRO TITTA : LA RÉSILIENCE DU FRÈRE BERGOGLIO

 

Il m’a fallu quelques jours pour me remettre des dernières intempérences de Bergoglio, le Robespierre de la révolution ecclésiastique. La première sur l’urgence mondiale de la variole du singe, avec l’invitation aux gouvernements et aux entreprises privées (sic dans le texte) de tout faire pour que personne ne soit exclu des bienfaits et des actes d’amour bien connus. Cette fois, c’est moi qui passe en premier, a dû suggérer le petit homme au cerveau. Le second, l’ubi Deus ibi migrantes : péché grave (que dis-je, grave : mortel) de ne pas accueillir.

 

La fixité cadavérique du pape se contemplant lui-même est frappante, mais d’autres bien plus versés que votre serviteur peuvent le dire et l’ont fait. Ce qui frappe aussi, c’est le mépris sénile de la réalité – avec le Covid et le remède miraculeux du Dr Dulcamara, rien n’a fonctionné, rien d’autre que la ‘’lumière de l’espérance’’ – et pour la conscience, denrée volatile, Bergoglio s’en est diligemment mutilé : on voit bien qu’il cherchait le scandale. Mais le plus frappant est un aspect profane qui mérite, ce oui, une admiration dévote et un respect obséquieux : la résistance de Bergoglio aux figures de boue.

 

Imaginez un homme – je dis bien un homme : un Old Global Leader selon les souhaits du vrai pape, Klaus Schwab – qui ne peut pas se curer le nez en paix sans que personne ne le sache, et qui opte pour la seule chose à faire dans ces cas douloureux : se curer le nez en public. De cette façon, cela se voit moins.

 

Le pape dit « pédé » ! Le pape fait pipi en public ! Le pape est si libéral que le cocalero Morales lui offre de la cocaïne et lui dit : « J’ai pris du thé de coca, jamais de cocaïne » – comme pour dire : Merci beaucoup, je vais essayer !

 

Il s’agit de figures visqueuses, dont il existe un vaste échantillon, qui glaceraient le sang d’un mort dans le réfrigérateur de la morgue. Il y a des victimes par poignées – même illustres, même enfants – de l’acte d’amour, il y a des troubles sociaux de plus en plus violents du fait de politiques d’immigration dissidentes, et que fait-il ? Il tourne en boucle comme un 33 tours rayé sur une platine dont l’aiguille est recouverte de fromage rance et répète la même litanie déséquilibrée. Sans variations sur le thème, sans arguments autres que des slogans ineptes balbutiés d’une voix efféminée, sans dévier.

 

Cette imperméabilité granitique à la boue qu’il déverse lui-même – que meure Samson avec tous les catholistes – ce mépris de sa propre réputation et de soi-même, pour modeste qu’il soit, dénote une abnégation absolue, une cupio dissolvi de soi-même, de l’institution et des fidèles, vraiment sans limite, à la limite du surhumain.

 

En admirant ces hommes à la tête dure, en particulier les abrutis du village global, je ne peux m’empêcher de m’attarder dans une respectueuse contemplation. De même qu’il faut rendre à Dieu ce qui est à Dieu, il faut aussi rendre à César ce qui est à César. Ou avec ceux qui se prennent pour César dans l’obscurité des asiles, ou avec le diable lui-même.

 

Chesterton écrit dans Orthodoxie que les fous sont des gens qui ont une confiance inébranlable en leurs propres moyens et une très haute opinion d’eux-mêmes. Bergoglio pourrait donc être fou, et aussi homosexuel, ou autre.

 

Ou bien Bergoglio est un « frère ouvrier » d’un rang si bas et soumis au chantage qu’il est obligé de porter le sac de la pire pacotille maçonnique en circulation, et ce qu’il va braillant aux quatre vents n’est rien d’autre que l’aveu de cette affiliation forcée et boueuse. Ce qui nous ramène à la première observation : le mépris absolu que Bergoglio nourrit pour lui-même.

 

Peut-être, un jour, dans la détente et la sérénité, une fois pape enterré, reconnaîtrons-nous qu’après tout il a lui-même dit et répété un nombre incalculable de fois : je ne suis pas le pape, je me limite à abuser des pouvoirs d’un pape, je ne suis même pas catholique, je suis un rien qui a été souillé de péchés innommables et qui a vécu sa misérable vie sous le chantage, avec la permission, avec votre permission, vos remerciements et excuses. Alors la faute serait vraiment la nôtre : nous ne l’avions pas écouté sine glossa, nous ne l’avions pas pris au sérieux, nous ne l’avions pas cru.

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