L’Apocalisse è annuncio di beatitudine. Dio tiene in mano la storia.
30 Agosto 2023
Marco Tosatti
Carissimi StilumCuriali, qualche giorno fa abbiamo pubblicato una riflessione di Fra’ Giovanni Maria sull’Apocalisse. Un amico fedele del nostro sito, R.S., aveva postato un commento che mi sembra interessante offrire all’attenzione anche di chi non frequenta il forum di discussione. Buona lettura, e condivisione.
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E che cosa rivela l’Apocalisse? Certamente che Dio tiene saldamente in pugno la storia, presentata come un mare insidioso, profondo e oscuro che però la visione trasforma in un pavimento di cristallo, trasparente.
La rivelazione non è primariamente la minaccia o la profezia di cataclismi e della venuta dell’anticristo, ma soprattutto (per ben sette volte) l’annuncio di beatitudine per chi questo scritto lo prende davvero in considerazione, senza modificarlo.
Poi c’è la faccenda del millennio… L’Incarnazione ha coinciso (alla pienezza dei tempi) con la prima venuta del Signore. La Parusia coinciderà con il ritorno annunciato da Nostro Signore il giorno dell’Ascensione.
Maranatha: vieni presto Signore Gesù!
Tra la prima venuta e il ritorno di Cristo c’è “il tempo del già e non ancora”.
Satana, che è il principe di questo mondo ed ha infestato la storia umana dall’inizio dei tempi, già sconfitto dalla croce e dalla resurrezione, si è mantenuto potente nel mondo e in tutti quei cuori che preferiscono il mondo a Cristo.
Viene un tempo (sembra questo) in cui non solo regna, ma sembrerà regnare incontrastato, sciolte le sue catene. Tutti i re della terra sono coalizzati in un unico disegno (Ap 17,13) contro l’Agnello.
Quando però sembrerà tutto nelle mani di questo potere avverso, improvvisamente franerà. Avverrà in un un istante, attraverso mezzi apparentemente piccoli contrapposti ad eserciti minacciosi ed imponenti, di fatto impotenti contro la volontà di Dio.
Verrà la città di Dio, verranno cieli nuovi e terra nuova.
Il mare (la storia umana che rema contro Dio) non esisterà più.
I “mille anni” del capitolo 20 sono quelli tra la prima e la seconda venuta. UN tempo in cui Cristo dovrebbe regnare ma, anche per il nostro peccato e la poca fede, vedono il perdurare di volontà anticristiche.
Apocalisse 20,7-8 è la sintesi dello scontro che avviene alla fine dei tempi, che non è la fine del mondo, ma di questo mondo.
Non è da temere: anzi, non dovremmo che chiederlo incessantemente in preghiera, ogni giorno, attendendolo e facendoci trovare pronti.
Tutti ricordiamo come inizia la Bibbia:
“in principio Dio creò il cielo e la terra…
Ma impariamo bene anche come finisce:
“la grazia del Signore Gesù sia con tutti voi. Amen!”
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Tag: apocalisse, R.S.
Categoria: Generale
È quanto mai importante situare il nostro tempo all’interno della descrizione di Apocalisse. Credo sia condivisibile l’ipotesi che siamo nel corso della battaglia che vede protagonista la Donna vestita di sole del Cap. 12, immagine della Chiesa, ma anche della Vergine Maria. Le molteplici apparizioni mariane, da Rue du Bac in poi, ce lo ricordano, penso in particolare a Fatima, ma oggi soprattutto a Medjugorje. Cito alcuni dei messaggi chiave che Maria ci ha affidato tramite i veggenti bosniaci: 1) Satana è sciolto dalle catene, e regna con la libertà di azione che gli è stata consentita per un tempo limitato (in questo c’è coincidenza anche con la terribile visione di Leone XIII, da cui scaturi’ la preghiera a S. Michele.) 2) Questo potere straordinario in questo tempo (per noi) di prova, sarà distrutto alla realizzazione dei 10 segreti affidati ai 6 veggenti (che saranno svelati 3 giorni prima che accadano). Seguirà un periodo di pace, non come semplice assenza di guerra, ma come ritorno dell’umanità allo stato d’innocenza edenico. 3) Nel frattempo, siamo invitati alla preghiera, al digiuno, ai sacramenti e alla lettura della Parola di Dio e, con un inconsueto riferimento, a guardarci dalla minaccia del “modernismo”, arma usata dell’avversario.
Resta per me poco chiaro come si possa determinare una nuova caduta che precederebbe la fine dei tempi, ma ritengo che le Scritture diverranno più intelligibili man mano che si realizzano gli eventi che devono accedere. Che Dio ci guidi e la Madonna ci protegga.
Réponse à C’EST À – 31/08/23 – 13h41
Merci pour votre attention, votre confiance et votre suivi. Que la paix soit avec vous !
On le réalise rapidement, très, très peu de personnes s’intéressent vraiment à la réalité de l’Apocalypse.
Et pourtant, c’est la réalité que nous vivons quotidiennement puisque l’Apocalypse est la vision anticipée de cette réalité que nous vivons tous les jours. L’Apocalypse n’a fait que décrire ce qui arriverait dans les derniers temps antichrists, comme le fait aussi la deuxième épitre de St Paul aux thessaloniciens (2Th 2), et aussi le livre du prophète Daniel auquel le Seigneur Jésus-Christ nous renvoie impérativement n Mt 24/15-18. C’est pourquoi, les événements décrits par la vision sont figés, verrouillés, on ne saurait plus rien y changer. D’ailleurs, on commence à bien voir que ces événements qu’elle a décrits anticipativement s’accomplissent actuellement de façon irrémédiable sous nos yeux. On peut être certain que notre époque est celle des derniers temps, et que nous sommes très près de la fin puisque beaucoup d’événements révélés par l’Apocalypse sont déjà survenus depuis 1917.
Le sommet de ”la grande apostasie” (2Th 2/3-4), de ” l’image animée en l’honneur de la Bête ” (Ap 13/14 – Ap 14/9 – Ap 14/11 – Ap 16/2), de la ”Babylone la Grande” (Ap 14/8 – Ap16/19 et Ap 17/5) et de la ”Prostituée fameuse” (Ap 17/1-2) va certainement se réaliser avec le “Synode sur la synodalité” en octobre 2023 et octobre 2024.
Hélas, comme vous l’écrivez : “Malheureusement, à mon avis, l’Église elle-même n’y a jamais accordé une grande attention, elle n’a jamais reçu l’importance qu’elle mérite, à commencer par la liturgie des Lectures, pendant la Sainte Messe.”
Et cela se vérifie aussi dans le fait que l’Eglise n’a pas voulu considérer d’autres sources de révélations :
▪︎ le message de La Salette rapporté par Mélanie Calvat dans son livre en 1879 a été ignoré par l’Eglise et puis tourné en dérision,
▪︎ le message de Fatima rapporté par soeur Lucia de Santos n’a pas été mieux accueilli dans l’Eglise. Le pape Jean XXIII n’a pas voulu que l’Eglise prenne la responsabilité de reconnaître l’authenticité de la partie du message qui annoncait des faits apocalyptiques. De la sorte, les demandes de la Sainte Vierge Marie n’ont jamais été satisfaites. La consécration de la Russie n’a jamais été effectuée selon la forme demandée.
▪︎ forcémemnt, il en est de même pour la manifestation mariale de Garabandal qui dérangeait encore plus en plein Vatican II. Mais il était difficile de nier les événements que les gens ont vécus à Garabandal. L’Eglise n’a pas su expliquer l’origine de ces faits, alors, elle n’a pas condamné Garabandal, mais elle n’a pas voulu reconnaître son caractère supranaturel.
Conchita de Garabandal a dit qu’il y aurait un synode peu de temps avant le grand avertissement annoncé. A son âge, Conchita ne savait pas du tout ce qu’était un synode. Elle a aussi rapporté que la Sainte Vierge lui avait dit, lorsque Jean XXIII est décédé, qu’il n’y aurait plus que quatre pape dont un qu’Elle ne comptait pas, et puis que la fin viendrait.
Ceux qui connaissent suffisamment ces trois manifestations mariales ne doutent plus de leur authenticité tout simplement parce qu’ils voient que ce qu’elles ont annoncées s’est déjà accompli en partie et continue de s’accomplir tous les jours sous nos yeux.
L’imposture covidienne nous a montré combien le chef actuel de l’Eglise catholique est au service du Nouvel Ordre Mondial comme le dit Ap 13/12. Et de même avec son encyclique Lauda Si, avec ses fréquentations suspectes, sa pachamama, ses sorciers chamanes, etceteri, etcetera, …..
Les deux bannières traînées par le petit avion jaune et le livre “Codice Ratzinger” de Andrea Cionci nous parlent suffisamment de l’actualisation de 2Th 2/7, ce qui nous amène à 2Th 2/8.
Il est étonnant, stupéfiant de constater qu’on ne parle pas plus de la nécessité d’une prodigieuse théophanie universelle pour sauver l’Eglise et le monde. Car il est déjà bien visible que les méchants inspirés par Satan oeuvrent à la destruction des humains et de la planète dont ils veulent faire un enfer. Les articles qui décrivent les terribles effets des faux vaccins sont de plus en plus nombreux. Malgré cela, ils vont recommencer leur comédie covidienne encore plus forts. N’oublions pas que chacun de ces articles est une grave dénonciation des actes criminels dont Bergoglio s’est rendu complice en se faisant le grand promoteur mondial de la campagne d’injection de ces produits qui blessent, qui handicapant et qui tuent. Et presque tous les cardinaux et les évêques ont collaboré avec lui. Comment peut-on encore croire en une Église qui tue ses enfants ? Oui, vraiment, une telle fausse Eglise est le signe de la fin des temps antichrists, tant pis pour ceux qui ne veulent pas le réaliser. Il est utopique et chimérique de faire croire ou de laisser croire que tout peu encore s’arranger avec un autre pontificat sans une intervention de Dieu.
N’oublions pas cette terrible parole de Jésus : ”Et si ces jours-là n’avaient été abrégés, nul n’aurait eu la vie sauve ; mais à cause des élus, ils seront abrégés, ces jours-là.” (Mt 24/22)
Et celle du livre de Daniel : ” Et sur l’aile du Temple sera l’abomination de la désolation jusqu’à la fin, jusqu’au terme assigné pour le désolateur.” (Dn 9/27) Jusqu’à la fin !
Et celle de 2Th 2/8 : ”Alors l’Impie se révélera, et le Seigneur le fera disparaître par le souffle de sa bouche, l’anéantira par la manifestation de sa Venue.” L’anéantir par la manifestation de sa Venue !
La mission des “apôtres des derniers temps” (dénomination de La Salette) touche à sa fin. Pour ceux qui ont bien voulu voir, savoir et croire, tout a déjà été dit en suffisance, et même tout a été répété plusieurs fois. Ils savent ce qu’ils doivent attendre et ce qu’ils doivent faire. Il ne reste donc presque plus rien à dire puisque déjà maintenant, les événements révèlent tout ce qu’il n’est plus possible de cacher. Evidement, il reste à croire ce que l’on voit, à se convertir, à prier en attendant les derniers événements qui ne vont pas tarder.
Un grand merci à l’honorable Dr Marco TOSATTI qui a bien voulu accepter de nous rapporter ce que presque tous les cardinaux, les évêques et les prêtres nous cachent. Merci pour son témoignage, pour son honnêteté intellectuelle, pour son sérieux et sa sincérité.
Maranatha !
Grazie infinite Terminus! Restiamo vicini nella preghiera, che la Vergine Santissima ci guidi e ci protegga e che il Signore abbia Misericordia di noi.Sia lodato Gesù Cristo.
Perfettamente d’accordo con R.S. Alcune profezie mariane e rivelazioni private coincidono con il contenuto dell’articolo. Grazie per la chiarezza.
Grazie R.S.!
Non è facile parlare di Apocalisse, ma lei ci riesce con serena e lucida capacità.
Quelques dernières précisions utiles.
En dehors de l’Église catholique romaine, il n’est pas possible de comprendre la vision apocalyptique parce qu’elle inclut deux réalités conséquentes qui sont propres à l’Église catholique et qui ne sont pas toutes acceptées par les autres religions chrétiennes :
1) La papauté. Si on ne reconnaît pas la papauté légitime de l’Eglise catholique romaine :
▪︎ on ne saurait pas comprendre ce que la vision rapporte en Ap 13/13-17, Ap 16/13 et Ap 19/20.
▪︎ on ne saurait pas identifier le personnage dont elle parle, puisqu’il s’agit assurément d’un faux pape Antéchrist.
▪︎ on ne saurait pas situer l’époque de l’émergence de ce personnage,
▪︎ On ne saurait pas comprendre ce qu’est ”l’image animée en l’honneur de la Bête ” (Ap 13/14 – Ap 14/9 – Ap 14/11 – Ap 16/2) ni ce qu’est ”Babylone la Grande” (Ap 14/8 – Ap16/19 et Ap 17/5), la ”Prostituée fameuse” (Ap 17/1-2)
▪︎ on ne saurait pas discerner l’époque à laquelle ces événements annoncés s’actualisent, se réalisent,
▪︎ on ne saurait pas se situer dans la plage du temps de la fin des temps antichrists.
2) Les dogmes afférents à la Très Sainte Vierge Marie. Si on ne reconnaît pas que Marie est la mère de Dieu :
▪︎ on ne saurait pas comprendre le chapitre XII de la vision,
▪︎ on ne saurait pas réaliser que Fatima est l’actualisation de Ap 12/1-2 et que la femme vêtue de soleil est la Vierge Marie. Pour les orthodoxes, Fatima est une invention de l’Eglise catholique et n’à rien à voir avec la vision apocalyptique. Et pour les protestants, Ap 12/1-2 est une image de l’Eglise. Mais de quelle Église ?
▪︎ on ne saurait pas réaliser que l’enfantement mystérieux de cette dame est le second Avent de son Fils Jésus, l’Avènement universel du Seigneur Jésus-Christ, et que Marie est la mère de ce second Avent autant que du premier parce que Dieu le veut ainsi pour sa mère,
▪︎ on ne saurait pas réaliser que l’énorme dragon rouge et feu ”en arrêt devant la Femme en travail” est le communisme qui commence aussi en octobre 1917. Une grande partie du message de Fatima concerne le communisme.
Il faut donc se méfier des interprétations de l’Apocalypse qui sont réalisées par les protestants et les orthodoxes et aussi les sédévacantistes qui ne reconnaissent pas les papes après Pie XII. Ces interprétations sont forcément fausses, elles détournent de la vérité, de la réalité et de la plage du temps. Cela démontre bien que leur schisme est une erreur.
Il faut aussi rejeter la théorie de ”l’enlèvement de l’Eglise”. C’est une doctrine eschatologique propre à la théologie évangélique, surtout américaine (en 1800), qui décrit un événement de la fin des temps où tous les chrétiens vivants seront enlevés sur des nuées en même temps que les croyants ressuscités à la rencontre du Seigneur dans les airs. Cette doctrine est tout à fait contraire à la Sainte Ecriture et au sacrifice des martyrs. A cause du protestantisme, elle s’est infiltrée aussi dans l’Église catholique .
Siamo in Italia, signor Terminus: scriva in italiano, per favore. Se scrivessi in italiano su una rivista francese?
I vecchi massoni incenerivano i corpi per irridere la resurrezione della carne. La chiesa, d altronde vietava, la cremazione.
Ma come nella visione di Ezechiele, Dio puo’ fare risorgere pure le ossa. Non può farlo con la polvere?
La resurrezione scandalo per i giudei, follia per i greci, contraddistingue il cristianesimo.
Il cristianesimo si fonda sull’assurdo. La resurrezione di un morto, 2000 anni fa. Contro ogni legge di natura.
Perché la salvezza viene da Dio. Alla fine.
Apocalisse – una lettura cattolica non prevede un Regno di Cristo di Mille Anni. una lettura evangelica e/o ebreo-messianica considera che dopo gli eventi catastrofici di origine naturale la Liturgia Celeste vede in Cielo una marea di anime in veste bianca, ma non si parla più che sulla terra ci siano i Santi: se tutto ciò giustificasse 2 Tess. 4 (?) e Ef. in cui si dice che saremo rapiti da Gesù nell’Aria (e di conseguenza non vedremo lo svolgersi degli ulteriori eventi, tra cui la presenza delle bestie e dell’Anticristo)?
Beaucoup de mots mais qui ne répondent pas du tout aux questions que le grand nombre se pose pour pouvoir discerner la pleine actualisation de ce que révèle la vision apocalyptique (la Révelation) :
1) Qu’est-ce que l’apocalypse veut exprimer ?
2) Quelle époque concerne-t-elle ?
3) Quand commencent les événements qu’elle décrit et quand terminent-ils dans la plage du temps de l’histoire de l’Eglise ?
4) Comment peut-on savoir si nos temps contemporains sont ou ne sont pas encore ceux annoncés par cette vision ?
5) Qu’est-ce que les sept lettres aux sept Eglises expriment et à qui s’adressent-elles vraiment ?
6) Qu’est-ce que ”la synagogue de Satan” dont parle Ap 2/9 et Ap 3/9 : ” Je connais tes épreuves et ta pauvreté – tu es riche pourtant – et les diffamations de ceux qui usurpent le titre de Juifs – une synagogue de Satan plutôt ! ” – ”Voici, je forcerai ceux de la synagogue de Satan – ils usurpent la qualité de Juifs, les menteurs -, oui, je les forcerai à venir se prosterner devant tes pieds, à reconnaître que je t’ai aimé.”
7) Qui sont et que sont les quatre cavaliers de l’apocalypse (Ap 6/2-8) ?
8) Qui sont les ”deux témoins” cités en Ap 11/3-12 ? Quelle est l’époque de leur émergence et de leur mission ?
9) Qui est la dame décrite en Ap 12/1-2 ? Est-ce bien une personne ou est-ce une simple image de quelque chose ? Cela fait-il réference à une époque bien précise ou à aucune époque ?
De quoi ou de qui est-elle enceinte et qui la fait crier dans les douleurs et le travail de l’enfantement ? Quel est cet enfantement mystérieux qui fait souffrir cette dame ?
10) Qu’est-ce que le dragon rouge feux à sept têtes décrit par Ap 12/13 ? Que signifient ses couleurs ”rouge et feu” ? Que signifient ses sept têtes ? Que signifie le diadème que porte chacune de ses têtes ? Ce dragon surgit-il à une époque bien précise ?
11) Que signifie le fait très précis que le dragon est ”en arrêt devant la Femme en travail, et s’apprête à dévorer son enfant aussitôt né.” (Ap 12/4) Cela a-t-il un rapport avec un fait historique ?
12) Qui est l’enfant mâle mis au monde par la femme ? Pourquoi est-il enlevé auprès de Dieu ? (Ap 12/5)
Quel est ce désert ou la femme s’enfuit pour y être nourrie ? (Ap 12/6) ? Quelle est la notion réelle de temps de ”mille deux cents soixante jours” ? (Il ne s’agit pas du tout de 1260 jours réels)
13) Pourquoi l’énorme dragon est-il aussi appelé ”l’antique Serpent, le Diable ou le Satan, le séducteur du monde entier” (Ap 12/9) Que signifie le fait qu’il est jeté sur la terre ?.
14) Qu’est-ce que ”la terre et la mer” dont parle Ap 12/12 ?
15) Que sont les deux ailes du grand aigle qui permettent à la femme de se réfugier dans le désert ? (Ap 12/14) ? Quelle peut bien être la durée réelle de ”un temps et des temps et la moitié d’un temps” ?
16) Qu’est-ce que le fleuve d’eau que le serpent vomit de sa gueule contre la femme pour l’entraîner dans ses flots ? (Ap 12/15)
17) Qu’est-ce que ”la terre” qui vient au secours de la femme et englouti ce fleuve ? (Ap 12/16)
18) Qui sont le reste des enfants de la femme ? (Ap 12/17) ? Comment le Dragon guerroie-t-il contre eux ?
19) Qu’est-ce que la Bête à sept têtes ? (Ap 13/1) qu’est-ce que symbolisent ces sept têtes ? Qu’est-ce que ”la mer” d’où elle surgit ? Que sont ses dix cornes et pourquoi ont-elles un diadème (les têtes n’ont pas de diadème) ?
20) Que signifie le fait que le Dragon transmet à la Bête sa puissance – et son trône – et un pouvoir immense ? (Ap 13/2) S’agit-il d’un événement historique bien précis qu’on peut situer dans le temps ou de paroles qui ne veulent rien dire ? Qu’est-ce que la puissance du Dragon, le trône du Dragon, le pouvoir immense du Dragon ?
21) Que peut bien signifier le fait qu’une des têtes de la Bête paraissait blessée à mort mais que sa plaie mortelle fut guérie ? (Ap 13/3 et 17/8). Quelle peut bien être cette blessure mortelle ? C’est un indice important pour se situer dans la plage du temps de l’apocalypse.
22) Qu’est-ce que ”la Bête surgie de la terre et qui a deux cornes comme un agneau, mais qui parle comme un dragon.” ? (Ap 13/11) Qu’est-ce que le mot ”terre” symbolise ici ? Pourquoi dit-on que cette Bête parle comme un dragon ? Quel est le langage du dragon ?
23) Qu’est-ce que ”la terre et ses habitants” que la ”Bête surgie de la terre” amène à adorer la ”Bête surgie de la mer dont la plaie mortelle fut guérie” ? (Ap 13/12)
24) De quels prodiges étonnants parle Ap 13/13 ? Qu’est-ce que le feu du ciel que la Bete surgie de la terre parvient à faire descendre ? Qu’est-ce que la terre sur laquelle elle fait descendre le feu du ciel ? Pourquoi dit-on ”aux yeux de tous” ?
25) Qui lui a donné d’accomplir ces prodiges ? (Ap 13/14)
26) Qu’est-ce que ”l’image en l’honneur de la Bête frappée du glaive et qui a repris vie” ? (Ap 13/14 – Ap 14/9 – Ap 14/11 – Ap 16/2)
26) Que signifie le fait que soient mis à mort tous ceux qui n’adoreraient pas l’image de la Bête ? (Ap 13/15). Il ne s’agit bien sûr pas du tout de la mort physique.
27) Que signifie ”se faire marquer sur la main droite ou sur le front” ? (Ap 13/16). Il ne s’agit bien sûr pas du tout d’une marque physique.
28) Que signifie le fait de ”ne rien pouvoir acheter ni vendre” ? (Ap 13/17). Il ne s’agit bien sûr pas d’acheter et de vendre des biens matériels et temporels mais des biens spirituels.
29) Qu’est-ce que le chiffre du nom de la Bête ? (Ap 13/17-18) Pourquoi dit-on que ce chiffre est un chiffre d’homme ?
30) Qu’est-ce que ”Babylone la Grande ”dont parle Ap 14/8 – Ap16/19 et Ap 17/5 ?
31) Qui est le ”faux prophète ” dont parle Ap 16/13 et Ap 19/20 qui précise que ce faux prophète est ”celui qui accomplit au service de la Bête des prodiges par lesquels il fourvoyait les gens ayant reçu la marque de la Bête et les adorateurs de son image” ? Ce verset est donc en corrélation avec le verset Ap 13/14 qui dit : ”et, par les prodiges qu’il lui a été donné d’accomplir au service de la Bête, elle fourvoie les habitants de la terre, leur disant de dresser une image en l’honneur de cette Bête qui, frappée du glaive, a repris vie.” Cette corrélation établit donc que le faux prophète est ”la Bête surgie de la terre ”. Et donc Ap 13/13-17 décrit l”identité et les œuvres du faux prophète.
32) Qu’est-ce que la ”Prostituée fameuse” dont parle Ap 17/1-2
33) Qu’est-ce que ”la Bête écarlate couverte de titres blasphématoires et portant sept têtes et dix cornes” dont parle Ap 17/3 ? Est-ce la même Bête que celle décrite par Ap 13/1-3 et Ap 17/8-12 ?
34) Quelle est cette femme décrite avec précision en Ap 17/4-6 et qui chevauche la Bête à sept têtes ?
35) Pourquoi dit-on que ” Cette Bête-là, elle était et elle n’est plus ; elle va remonter de l’Abîme, mais pour s’en aller à sa perte” ? (Ap 17/8) Quel est cet Abîme dont elle remonte ? Comment en est-elle remontée ? A quelle époque cela a-t-il bien pu se passer ?
36) A quoi peuvent bien servir les détails précis que nous livre Ap 17/9-12 ? Que sont les sept collines (sommités) afférentes aux sept têtes de la Bête ? Qui sont les sept rois (sept personnages humains) dont chacun est afférent à une tête/colline ? Pourquoi précise-t-on que, lorsque la Bête surgit de la mer, cinq rois sont passés (décédés), un est en vie (le sixième) et le dernier (le septième) n’est pas encore venu ? Avec certitude, ces renseignements décrivent une succession chronologique de sept personnages humains, ce qui prouve que la vision apocalyptique couvre une plage du temps ; elle ne commence pas n’importe quand et elle ne finit pas n’importe quand.
37) Qui est celui des sept rois qui fait le huitième et personnifie la Bête toute entiere ? (Ap 17/11)
Il est possible de donner une réponse réaliste à toutes ces questions parce que Dieu ne nous a pas donné cette vision via St Jean pour n’en faire qu’un simple sujet de discussion. Il nous l’a donnée pour nous permettre de reconnaitre l’époque de la fin des temps antichrists et nous y préparer. Et il en est de même avec Mt 24/15-18 et 2 Th 2/1-12. S’il n’en était pas ainsi, à quoi donc tout cela pourrait-il bien servir ?
Grazie Terminus, per avere elencato tutta una serie di domande legittime e precise, che un Cattolico ha tutto il diritto di porsi ed avere i mezzi ed una guida idonei per interpretarle. L’Apocalisse, anche a mio giudizio, costituisce prima che una Speranza, la quale è insita nel Cristiano certo della Vittoria di Cristo, un Libro di Rivelazione, di come la storia dell’umanità vivrà gli ultimi tempi, già tutto scritto. Purtroppo dalla Chiesa stessa non è mai stato, secondo me, ben attenzionato, non gli è mai stato dato il giusto peso, a partire dalla Liturgia delle Letture, durante la Santa Messa. Lo si è quasi confinato in un alveo tra il mitologico e l’onirico, pena la completa impreparazione ed ignoranza di tanti Cattolici , anche e soprattutto in vista degli eventi che il nostro tempo ci sta propinando e a cui , in tanti, si trovano del tutto impreparati!
Si, ci aspetta la felicità, ma ci troviamo in grandi guai –
Atti 1, 6-8: “Quelli dunque che erano con lui gli domandavano: «Signore, è questo il tempo nel quale ricostituirai il regno per Israele?». Ma egli rispose: «Non spetta a voi conoscere tempi o momenti che il Padre ha riservato al suo potere, ma riceverete la forza dallo Spirito Santo che scenderà su di voi, e di me sarete testimoni a Gerusalemme, in tutta la Giudea e la Samaria e fino ai confini della terra». – Il regno, il millennio, viene dopo l’evangelizzazione della terra intera.
S.Ireneo, Contro le Eresie 5,36,2: “Nei tempi del regno l’uomo, che vive sulla terra come giusto, si dimenticherà già di morire.” – Finora i morti muoiono.
2Pie 3,12s: “ … mentre aspettate e affrettate la venuta del giorno di Dio, nel quale i cieli in fiamme si dissolveranno e gli elementi incendiati fonderanno! Noi infatti, secondo la sua promessa, aspettiamo nuovi cieli e una terra nuova, nei quali abita la giustizia.” – S.Pietro identifica la Terra Nuova con il tempo che segue la venuta di Cristo, caratterizzato della giustizia.
Ap 22,2: “In mezzo alla piazza della città, e da una parte e dall’altra del fiume, si trova un albero di vita che dà frutti dodici volte all’anno, portando frutto ogni mese; le foglie dell’albero servono a guarire le nazioni.” – La nuova Gerusalemme che scende dal cielo possiede il tempo, i dodici mesi, possiede i sacramenti, il frutto dell’albero della Croce ed è il luogo dove si guarisce ciò che non è ancora completamente sano. Scendendo dal cielo non può essere il cielo, ma per forza deve essere il millennio che alla fine sboccherà tale quale nell’eternità.
Capisco le eventuali contraddizioni apparenti esistenti nel ordinamento testuale dell’Apocalisse, ma mi attengo al testo sacro. Secondo la Scrittura il regno aspettato da san Pietro sembrano essere i cieli nuovi e la terra nuova, sempre seguendo san Pietro, dove abiterà la giustizia e dove, come dice S.Ireneo, si dimentica già da morire. Il cielo di sicuro non è un luogo dove si dimentica di morire.
Ringrazio il gentilissimo Dr. Tosatti per il risalto e ringrazio un bravo sacerdote che mi ha insegnato ciò che ho scritto, cui aggiungo queste altre perle.
La storia umana è giunta ad uno snodo pericoloso, per molti versi inedito e perciò più inquietante. La storia umana ha iniziato a sgretolarsi con il peccato originale, causato dall’inganno del “serpente” che è una creatura, ma la più astuta, figura dell’intelligenza angelica ribellatasi a Dio e che vuole il male dell’umanità.
Non si può comprendere Apocalisse se non si comincia da Genesi. Apocalisse è l’ultimo libro della Bibbia e per capire è necessario non trascurare tutti gli altri prima.
Rivelazione di Gesù Cristo (Ap 1,1) è il titolo, l’incipit.
La donna vestita di sole del capitolo 12 è vestita come i primogenitori prima della caduta: vestiti di luce non vedevano di essere nudi, ma perduta la luce hanno avuto anche quel problema. Una qualsiasi stella priva di luce non è che un ammasso di gas e rocce, senza bellezza e splendore. La luna sotto i piedi rappresenta il dominio divino sulla mutevolezza (la lunaticità) del vivere terreno.
Sono segni di cielo e non di terra. Anche il drago/serpente è in cielo ed è in cielo che scoppia la guerra. Guerra spirituale che fa dire a San Paolo (agli Efesini) che anche “la nostra battaglia infatti non è contro creature fatte di sangue e di carne, ma contro i Principati e le Potestà, contro i dominatori di questo mondo di tenebra, contro gli spiriti del male che abitano nelle regioni celesti”.
Purtroppo c’è una chiesa che non sta nel deserto, nell’intimità con Dio dove può sopravvivere durante la sfida, ma che invece si fa mondo, dove è inevitabile soccombere. Il drago ha i suoi angeli e anche Michele ha i suoi, ma il nostro errore consiste nell’essere affidati agli angeli sbagliati mentre la battaglia, inevitabile, infuria.
La vita dell’esperienza di fede è una lotta, ma il nostro tempo sta sfornando degli inabili alla battaglia!
Il luogo della battaglia è il cuore e il guaio non è la nostra natura (che è buona, creata da Dio), ma il peccato che la deturpa (tutti i peccati sono contro natura). E’ la stessa battaglia avvenuta in cielo: i nostri angeli custodi l’hanno già vinta, mentre qui non è ancora finita (è consolante sapere di aver accanto un angelo già vincitore).
Apocalisse è una visione che riassume tutto, dal primo rigo di Genesi al compiersi dei tempi.
Prima del tempo Dio c’è già. All’inizio dei tempi Dio crea l’uomo, nella volontà di uno sposalizio (un primo fidanzamento) tra Dio e l’umanità. Questo genera l’invidia degli angeli ribelli.
Con il peccato originale il fidanzamento è rotto dall’uomo che si separa da Dio ed esce da Eden. Naufraga il fidanzamento sponsale, ma Dio rimane fedele (Osea) e stabilisce un’alleanza con un popolo.
Nella pienezza dei tempi Dio conduce il popolo prescelto all’appuntamento con l’Incarnazione del Verbo. Si tratta dello sposalizio della divinità con l’umanità (presuppone una madre terrena, Maria madre di Dio). L’Eucaristia è come una medicina, ma nemmeno la redenzione è sufficiente a sanare la ribellione fomentata.
E’ basilare restare nella centralità di Cristo-Agnello.
L’alfa e l’omega, ieri, oggi e sempre.
Tutto l’Antico Testamento rivela il volto del Figlio e tutto il Nuovo Testamento nel Figlio rivela il volto del Padre, mentre lo Spirito Santo ci illumina nel credere al Figlio.
Tutto il male della storia non necessariamente converte verso l’Agnello… tanta intelligenza, scienza e tecnica umane non sono sinonimi di un’elevazione sopra la storia e la natura ferita. Non capiamo nemmeno che il male è preternaturale.
Perdura un tempo di prova (ancora di fidanzamento, pre-nuziale). Altro che “non abbandonarci alla tentazione”! La prova è inevitabile, ma servono dei buoni guerrieri mariani: pieni di grazia.
Alla fine dei tempi si ricapitola tutto, con la seconda venuta di Cristo Re e le nozze dell’Agnello e ci saranno le nozze (Apocalisse capitoli 21 e 22) e l’umanità sposa prenderà posto nel Regno di Dio.
Apocalisse dice anche un contesto liturgico domenicale, eucaristico, del Verbo fatto carne con noi.
Non è una rivelazione per spaventare, ma per sostenere la prova di chi è divenuto cristiano.
Non è un libro da sapere o da studiare, ma da mettere in pratica vivendolo, godendone la beatitudine.
Il matrimonio cristiano, un sacramento, è un segno della grazia che riguarda l’umanità trasfigurata di luce.
Ringraziando sempre a Marco Tosatti che ci offre il foro per discutere.
Atti 1, 6-8: “Quelli dunque che erano con lui gli domandavano: «Signore, è questo il tempo nel quale ricostituirai il regno per Israele?». Ma egli rispose: «Non spetta a voi conoscere tempi o momenti che il Padre ha riservato al suo potere, ma riceverete la forza dallo Spirito Santo che scenderà su di voi, e di me sarete testimoni a Gerusalemme, in tutta la Giudea e la Samaria e fino ai confini della terra». – Il regno, il millennio, viene dopo l’evangelizzazione della terra intera.
S.Ireneo, Contro le Ereseie 5,36,2: “Nei tempi del regno l’uomo, che vive sulla terra come giusto, si dimenticherà già di morire.” – Finora i morti muoiono.
2Pie 3,12s: “ … mentre aspettate e affrettate la venuta del giorno di Dio, nel quale i cieli in fiamme si dissolveranno e gli elementi incendiati fonderanno! Noi infatti, secondo la sua promessa, aspettiamo nuovi cieli e una terra nuova, nei quali abita la giustizia.” – S.Pietro identifica la Terra Nuova con il tempo che segue la venuta di Cristo, caratterizzato della giustizia.
Ap 22,2: “In mezzo alla piazza della città, e da una parte e dall’altra del fiume, si trova un albero di vita che dà frutti dodici volte all’anno, portando frutto ogni mese; le foglie dell’albero servono a guarire le nazioni.” – La nuova Gerusalemme che scende dal cielo possiede il tempo, i dodici mesi, possiede i sacramenti, il frutto dell’albero della Croce ed è il luogo dove si guarisce ciò che non è ancora completamente sano. Scendendo dal cielo non può essere il cielo, ma per forza deve essere il millennio che alla fine sboccherà tale quale nell’eternità.
Capisco le eventuali contraddizioni apparenti esistenti nel ordinamento testuale dell’Apocalisse, ma mi attengo al testo sacro. Secondo la Scrittura il regno aspettato da san Pietro sono i cieli nuovi e la terra nuova, sempre seguendo san Pietro, dove abiterà la giustizia e dove, come dice S.Ireneo, si dimentica già da morire. Il cielo di sicuro non è un luogo dove si dimentica di morire.
Concordo con R.S. L’apocalisse e’ un libro di speranza. Personalmente leggo tutto, pure il vecchio testamento, alla luce del vangelo, non il contrario. L’Ecco vengo presto! dell’apocalisse sembra ridicolo di fronte a un apparente ritardo di 2000 anni. 2 Pt dice: “diranno dove e’ la promessa della sua venuta?”. Saran 400 anni che la gente se lo domanda. A partire da Reimarus.
C’era un autore, che Tosatti ha conosciuto di vista, SERGIO QUINZIO, che baso’ la sua scrittura e la sua vita, nell’invocazione dell’Apocalisse.
Per lui l’apostasia era questo: “pregare per il continuo di questo mondo, invece perché finisse”.
Non ha tutti i torti. Venga il tuo regno, significa anche questo. Aspetto la resurrezione dei morti e la vita del mondo che verra’.
Il pensiero di Quinzio e’ assurdo. Proclamava l’impossibilita’ di credere. Eppure era credente, mi risulta.
Ho letto molto su di lui e i suoi libri. Oggi ho cambiato idea.
Ma Quinzio e’ stato un “profeta”. Ha avuto il coraggio di chiedere conto a Dio delle sue promesse. Come Giobbe.